Le storytelling ? Un pilier dans la communication de marque. Son terrain de jeu n’a pas de limite : du print au digital, du post Facebook au 3X4 en passant par la landing page, il infuse tout le discours de marque. L’agence se positionne avec une identité double, stratégie et création, l’un n’allant pas sans l’autre.
L’histoire de la marque
Le storytelling a autant de définitions que de communicants interrogés. Le fil conducteur n’en reste pas moins le même : « sur quelles bases narratives articuler un discours de marque qui lui donne tout son sens » ? Il en va de sa crédibilité et de son impact mais aussi de sa pérennité : plus le storytelling est solide, plus on est susceptible de se souvenir de la marque, exactement comme on le ferait avec une bonne histoire. Aussi le storytelling gagne-t-il énormément à être conçu non pas comme un glaçage alléchant mais bien comme un élément structurant.
Nourrir un bon storytelling
Cette histoire que propose la marque, ce n’est pas, bien sûr, l’histoire de la marque à proprement parler (même si celle-ci en fait partie). Elle regroupe l’ensemble de messages par lesquels passent son identité :
- Vision
- Mission
- Actions
- Historique
- Acteurs
- Valeurs
- …
Il arrive que ces éléments soient déjà définis dans le concept de marque, tant mieux, la définition du storytelling pourra être l’occasion de valider à nouveau leur cohérence globale.
Le bon storytelling dit vrai
Il n’est pas là pour raconter des histoires. L’agence s’attache donc à opérer un véritable sourcing terrain, alimenté par des workshops, des interviews, des questionnaires, afin de réunir toute la manne nécessaire à la conception du storytelling. Il s’agit ensuite de la structurer afin de lui donner son angle et d’en valoriser la pertinence pour son public cible. Autrement dit, une fois ces éléments rassemblés, elle en tire un fil conducteur qui va servir de support à toutes les narrations proposées par la marque.
Pendant cette étape cruciale, composante clef de la genèse d’une marque, la friction et les désaccords ne seront pas écartés, bien au contraire, car leur richesse est inouïe. Pour faire ressortir les rugosités et atterrir dans le positif, il faudra d’abord s’y être confronté !
La charte éditoriale en support
Comment verbaliser cette narration qui prend la forme du storytelling ? Avec une stratégie éditoriale, qui entre en jeu pour prévoir la forme que pourra prendre ce storytelling. Elle est naturellement indissociable de la charte éditoriale, qui formalise les aspects linguistiques et verbaux de l’identité éditoriale de la marque.
Demain, décliner son storytelling
Le bon storytelling a aussi ceci de hautement caractéristique : il se doit d’être visionnaire. Anticiper les nouveaux acteurs du marché de demain et son évolution, pour pouvoir résonner aussi puissamment demain qu’aujourd’hui.
L’agence accorde aussi une attention toute particulière à sa fertilité, son potentiel. Sera-t-il assez puissant pour permettre la création de tous les supports de communication ou de marketing dont se nourrit la vie d’une marque ? C’est le challenge à relever !